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Arlis et Marta

 

D’abord une couverture : celle de la version poche d’Arlis des forains à paraître chez Folio SF en septembre. Comme celle de Serpentine, elle est signée par le talentueux Bastien L. J’aime beaucoup la façon dont chacune des couvertures du roman, celle-ci comme celle de Didier Graffet chez Bragelonne, reflète à sa façon l’atmosphère du livre. Curieuse maintenant de voir à quoi ressemblera celle de Notre-Dame-aux-Ecailles, prévu pour début 2011.

 

 

 

 

(Et vous avez vu ? Cette fois, vous avez droit au vrai fichier de la couverture, pas à une photo maison versant dans le flou artistique.)

 

Une page d’agenda, ensuite, pour annoncer que je participerai ce week-end à deux salons. Samedi, la première édition des Futuriales d’Aulnay-sous-Bois. Dimanche, le salon Saint-Maur en poche (consacré comme son nom l’indique aux livres de poche, même si j’ai cru comprendre que chaque auteur présente également ses livres en grand format).

 

 

 

 

 

Un instantané musical pour finir. Photo prise hier après le tournage d’une session Cargo avec Marta Collica. Je crois avoir déjà parlé ici de Marta, que j’avais découverte dans le groupe de John Parish – figure discrète derrière son clavier, mais qui gagne une tout autre présence dès lors qu’elle se met à chanter. J’aime beaucoup sa voix, ses ambiances feutrées et je suis fascinée par sa chanson Faded bloom et son motif obsédant au piano. Je la voyais vendredi dernier en solo pour la première fois. Ses morceaux minimalistes gagnaient en puissance lorsqu’ils étaient soulignés par la présence d’un groupe (Atlas Crocodiles qu’elle accompagnait sur quelques titres), mais elle a juste assez de voix et de présence pour retenir l’attention lorsqu’elle est seule sur scène. Marta rejoue à Paris le mardi 15, à la Dame de Canton, et reviendra le 20 juillet en compagnie de John Parish au Batofar – un concert essentiellement axé sur les musiques de film de John, dont deux seulement (She, a Chinese et le superbe Rosie) sont disponibles sur CD. En attendant, ravie d’avoir pu assister à cette jolie session, prendre quelques photos et faire un peu plus ample connaissance hors des salles de concert. Dommage que mon italien laisse à désirer et que la conversation dérive systématiquement vers l’anglais en deux minutes chrono.

 

 

 

 

 

 

 

 

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