Une dernière vidéo de saison, qui s’imposait :
Ce passage contient la réplique de Zézette qui me fait le plus marrer (au point que j’ai voulu l’installer en bruitage sur mon ordinateur, mais je ne l’ai jamais trouvée sur le Net) : « Mais oui Thérèse, il est drôlement dangereux ! Il a mis ma télé à la consigne, il a bouffé le ticket. »
Sinon, la grande joie de ces derniers jours : les retrouvailles avec mon G9 bien-aimé. Enfin pas tout à fait le même, pas le G9 volé qui se balade désormais je ne sais où, mais un clone parfait avec qui l’entente a été aussi immédiate que cordiale, la preuve en images. Je ne vous raconte pas le bonheur que ça a été d’avoir de nouveau cet appareil en main et de retrouver tous les réflexes acquis depuis un an. Je ne me rendais pas compte à quel point on s’habituait à ces choses-là – même au simple fait de reconnaître sa taille et son poids dès que je le prends en main. Ce n’est pas juste un appareil, c’est mon appareil à moi.
(Oui, un G9 ne peut être tout à fait à moi qu’après avoir passé le test de l’autoportrait-dans-un-miroir, pourquoi ?)
Certains d’entre vous, qui m’ont croisée dans les périodes où mes gènes italiens se réveillent en me donnant des envies de cuisiner (avoir eu une grand-mère paternelle qui faisait la pasta à la main, ça doit laisser des traces), auront reconnu ci-dessus des orangettes qui attendent d’être enrobées de chocolat. Le plat d’oranges à la cannelle ci-dessus provient du même fruit histoire de ne pas gâcher, mais là, l’idée est de ma mère (le résultat aussi).
Sur ce, je vous souhaite à tous de passer un chouette réveillon de Noël en bonne compagnie, avec de la bonne bouffe, plein de zolis cadeaux et plein de bonnes ondes. Y compris, voire surtout, à ceux qui n’aiment pas Noël.