“On tournoie, on balance, on accélère, et je sens que ça monte, le courant dans mes jambes, dans mes bras, la pulsation du monde, comme l’appelle Asma. Une fois que l’élan est là, ce n’est plus moi qui danse. C’est la pulsation du monde qui me traverse.”

Ils sont trois qui se croisent dans les rues de Paris : les fuyardes Asma et Naïma, unies par une même colère et un même don ; et puis Elias, ce passant qui sait entendre le chant des autres.